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Carlie - Fan fiction Twilight - Reprendre sa vie en main
Carlie - Fan fiction Twilight - Reprendre sa vie en main
  • Fiction autour des personnages de S. Meyer. Ils sont tous humains. Bella mise à la porte par son père car enceinte. Edward dévasté par sa fugue. Quatre ans plus tard, ils se revoient mais pas comme dans les romans à l'eau de rose. Enquête, Amour et pleins
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Carlie - Fan fiction Twilight - Reprendre sa vie en main
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31 octobre 2009

Chapitre 35 - Reprendre sa vie en main !

NOTE DE L'AUTEURE

coucou

Voilà, le dernier chapitre de ma fiction. J'ai en préparation trois épilogues avec trois évènements pour que vous ne soyez pas trop en manque de savoir comment s'en sorte tous mes personnages.

J'ai été ravie d'écrire cette fiction et encore plus ravie de votre lecture. Vos commentaires m'ont fais chaud au coeur et m'ont encouragé à continuer.

Maintenant, je dois m'attaquer à la fin de ma première fic et je dois dire que pour l'instant, l'inspiration me manque.

Merci de m'avoir lu et soutenu, merci.

Carlie

et voilà le dernier chapitre :

POV Bella

Je me sentais bizarre, mes paupières étaient encore lourdes mais tout doucement je me réveillais.

Je bougeais la tête pour voir où j’étais : encore l’hôpital. J’allais devenir allergique. Une infirmière s’approcha de moi :

« Mademoiselle Swann, comment vous sentez vous ? »

« Çà pourrait aller mieux »

« Je vais chercher le médecin ».

Je la retenais en attrapant sa main :

« Oui, mademoiselle »

« Ma famille ? »

« Ne vous inquiétez pas, le docteur Cullen a été très clair : le prévenir dès votre réveil, ce que je vais faire tout de suite ».

Elle me sourit et je me sentis un peu mieux. Le médecin arriva :

« Bonjour mademoiselle. Je vais aller droit au but »

« Bien ».

je commençais à avoir peur, il le vit et posa une main sur mon bras :

« Doucement mademoiselle, calmez vous. Voilà, vous avez perdu énormément de sang à cause premièrement d’une fauche couche dû vraisemblablement à des violences assez grave sur vous ».

James !!! J’avais la rage, tout était de sa faute. Je tremblais et mes larmes commençaient à couler sur mon visage.

« Je sais c’est dur mademoiselle, deuxièmement vous avez eu un éclatement de la rate et nous avons du vous opérer. Tout s’est bien passée, nous avons enlevé cet organe et nous avons du vous transfuser, mais vous pourrez vivre normalement, bien sur avec quelques précautions ».

Je savais que l’on pouvait très bien vivre sans la rate et je m’en foutais royalement de l’avoir encore ou pas. La seule chose qui me préoccupait, était ma fausse couche et les conséquences. Je ravalais difficilement les sanglots :

« Docteur ? »

J’avais peur de la suite mais je devais savoir, en l’attendant j’avais réfléchi. Ma vie s’était Méline et Edward et jamais je ne pourrais vivre sans eux. Je savais que tant que James serait en liberté je ne pourrais pas être tranquille mais une chose me faisait encore plus peur, c’était de ne plus jamais pouvoir donner la possibilité à Edward de vivre ce qu’il avait loupé avec Méline. Je voulais d’autres enfants je voulais rattraper le temps, je voulais qu’Edward vive une paternité entière, je voulais …

« Mademoiselle Swann ? »

« Docteur, je n’ai qu’une seule question dont la réponse veuille la peine ».

Il me regarda surpris, je pris mon courage à deux mains :

« Pourrais-je avoir d’autres enfants ? ».

Je vis le docteur faire un « oh » de la bouche, il se tourna vers la porte de la chambre ; à travers la vitre je vis ma famille.

« Je crois que je devrais répondre à cette question en présence du père de votre fille »

J’hochais la tête, il sortit et revint avec Edward. Son sourire me coupa le souffle, sa beauté me fit sourire, comment avais je pu l’abandonner ? Comment avais je pu lui faire subir tant de souffrance et comment pouvait il être encore amoureux de moi après tout çà ? Mes larmes redoublèrent et il se précipita vers moi, me prit dans ses bras, embrassa chaque partie de mon visage. Je dus lui dire stop sinon le médecin se serait senti mal à l’aise si je l’avais laissé faire.

« Edward, on est pas seul »

« Je m’en fiche, toi seule compte et Méline bien sûr ».

Le docteur se racla la gorge :

« Votre amie, monsieur Cullen, m’a posé une question à laquelle je me dois de répondre mais je voulais que vous soyez là ».

Edward fronça les sourcils, le docteur continua :

« Elle voulait savoir si elle pourrait avoir d’autres enfants suite à l’agression qu’elle a subit ».

Je vis Edward se raidir, il n’avait pas du se poser la question et sincèrement je ne lui en voulais pas, il avait du se faire à l’idée d’être père d’une petite qui avait déjà quatre ans.

« Alors docteur ! La réponse ? » demanda Edward.

« Mademoiselle, malgré les blessures assez importantes que vous avez subit, je peux vous dire avec certitude que cette perte n’aura rien causé d’irréversible ».

Je regardais le médecin :

« Je pourrais avoir d’autres enfants ? »

Le médecin se mit à sourire :

« Autant que vous voudrez, mademoiselle mais cependant je vous conseille pendant quelque temps de vous reposer et de laisser vos blessures guérir ».

J’hochais la tête, puis je me retournais vers Edward qui avait un large sourire accroché aux lèvres :

« Combien ? »

« Hein ! Je   je   sais pas. Je voulais savoir si »

« Mon amour, je sais mais je voudrais savoir combien tu en veux »

Cette discussion devenait un peu trop personnelle et j’allais demander au médecin de nous laisser mais celui-ci était déjà parti. Combien ? Je ne m’étais jamais posé la question.

« Si je te dis cinq ? » croyant le voir fuir. Il se mit à rire :

« Personnellement, je m’en fiche. Tu en veux, j’en veux »

Puis une petite tornade, aux cheveux cuivrés rentra en courant dans la chambre :

« MELINE ! Ma chérie »

Edward la déposa sur mon lit et elle se jeta dans mes bras. J’embrassais ma fille, la serrais dans mes bras, j’avais besoin de me rassurer, de savoir qu’elle était bien là.

Je vis tout le monde entrer dans ma chambre. Bon dieu que çà faisait du bien des les voir. Mon frère se retenait de me sauter dessus ainsi que Jasper, je fis comprendre à Méline d’aller avec son père, j’essayais de me redresser avec l’aide de Carlisle. Mes larmes recommençaient à couler, je tendais mes bras vers mes deux frères et je vis deux mômes se ruaient sur mon lit :

« Doucement les garçons ! » leur dit Carlisle.

Je serrais comme je pouvais mes deux frangins, Emmett releva la tête :

« Ne me fait plus jamais une peur pareille ! Car la prochaine fois tu auras à faire à ta belle-sœur pour me faire faire du mouron comme çà ».

J’éclatais de rire et discrètement je regardais Rosalie, qui secouait la tête :

« Non mais vraiment ! pour qui tu me fais passer, franchement ! Bon poussez vous vous deux, Alice et moi on a envie de « câlins Bella » nous aussi »

Jasper et Emmett se redressèrent et laissèrent leur place à leurs femmes respectives. Le reste de la journée passa tranquillement, on me raconta tout en détail depuis ma disparition. Le pire moment, fut quand ils parlèrent de Méline. Savoir que ma fille était mal en partie à cause de moi, me déchirait le cœur. Edward avait beau essayé de me rassurer en nous racontant que le matin même Méline l’avait appelé « papa » mais rien y faisait.

Le soir venu tout le monde partit, je dus laisser ma fille partir aussi avec ses grands-parents. Edward avait demandé à rester avec moi cette nuit, il allait dormir sur un lit d’appoint à côté de moi et je lui en fus reconnaissante.

Edward et moi fumes enfin seuls.

« Edward »

Ce dernier était allongé à côté de moi (je crois que le lit d’appoint ne servirait pas) :

« Oui mon amour »

« Je m’excuse pour toute cette histoire, si j’avais mieux réfléchi il y a quatre ans tout cela ne se serait pas passé »

Edward se redressa et posa ses doigts sur ma bouche

« Non Bella non. Pas de çà, plus de çà. Je ne veux plus que l’on pense au passé, on ne pourra pas revenir en arrière alors je t’en prie »

« Je sais mais … »

« Bella, je t’aime toi et Méline. Oh oui, je vous aime. Vous m’avez guéri de tous mes maux »

« Je t’aime Edward ».

Il hésita avant de reprendre :

« Chérie, je dois te dire que tu as été mise dehors »

J’écarquillais les yeux et il m’expliqua pourquoi, pour le coup, je ne connaissais pas la mère de Rosalie mais je la détestais. Edward était mal à l’aise, je le voyais réfléchir :

« Edward, que se passe-t-il ? »

« Alice ! » dit il en soupirant :

« Quoi Alice ? »

Il se pinça l’arête du nez, inspira et me regarda ; ses yeux s’accrochèrent au mien avec une détermination que je n’avais pas vu depuis longtemps :

« Alice, Rosalie et ma mère ont emménagé tes affaires chez moi »

Chez lui ! Mais …. Oh ! Alice Cullen, vous allez m’entendre.

« Bella, je sais que nous nous étions mis d’accord pour attendre, pour Méline mais … »

Quoi mais ? Il voulait … mon pouls s’accéléra, il voulait vraiment ; son regard parlait pour lui. Combien de fois avais-je rêvé d’un moment pareil ? Trop de fois à mon goût.

« Méline sait que je suis son père. Bella, je veux vivre avec toi, avec notre fille et nos futurs enfants ; je veux que nous soyons une famille ».

La respiration d’Edward se fit courte et des larmes coulèrent sur ses joues, je le regardais, m’attardais sur ses traits, ses yeux, tout. Il avait toujours été le seul et l’unique, aussi loin que je puisse remonter dans mon passé, Edward avait été le seul homme de ma vie, de mon existence et le seul avait qui je voulais finir ma vie.

« Bella, je sais que tu dois avoir peur et je t’avoue que je suis un peu dans le même état mais je t’aime et si tu décides d’attendre alors … »

Je mis mon doigt sur sa bouche :

« Méline et moi avons pensé tes blessures et toi tu m’as fait revivre et donné un père à Méline. Edward, tu as toujours été le seul et tu resteras le seul homme de ma vie. Alors oui, Edward, je veux vivre avec toi et notre fille ».

Il m’embrassa comme jamais il ne m’avait embrassé.

Edward s’endormit rapidement. Je le regardais, oui je voulais vivre avec lui. Je savais que Méline comprendrait d’elle-même qu’Edward était son père mais nous devrions quand même en discuter avec elle.

J’avais hâte de sortir d’ici, de reprendre une vie normale. Je voulais vivre avec mon homme et ma fille, je souriais à la nouvelle chance que la vie m’ait donné malgré le fait que James était toujours vivant et en liberté, pour l’instant je ne voulais pas y penser. Pour la première fois depuis longtemps je m’endormis heureuse et vivante.

Une semaine plus tard, je sortais de l’hôpital au côté d’Edward et dans mes bras notre fille. Nous étions rentrés chez nous, Alice comme à son habitude avait fait une petite fête. En même temps comment lui en vouloir, nous n’avions pas pu fêter le réveillon de Noël ni celui du jour de l’An car tout le monde avait du sommeil à rattraper. Nous étions le 3 janvier, nous trinquions à cette nouvelle année et à cette nouvelle vie.

J’allumais la télé, les informations montraient les funérailles de James Trenton. J’éteignais.

Je retournais auprès des miens, je souriais en les voyant tous, je regardais mon homme et ma fille ; je voyais ma famille à moi et j’étais plus que bien.

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Commentaires
T
j'adore! c'est tellement émouvant! je vais aller lire le 1e épilogue
M
C'était vraiment super, merci beaucoup !!
L
carlie je t'adore <br /> <br /> vivement les epilogue
M
super tout nous as bien tenue en haleine avec cette fic<br /> super vivement les épilogues
S
et tout est bien qui fini bien!!! j adore quand ca fini bien!! merci pour cette belle histoire, j espere vite lire les epilogues. bisous
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